IntroductionObjectifs généraux :
Fonctions
possibles dans un tableur
De
nombreux domaines font appel aux circuits logiques de commutation : non seulement
l'informatique, mais aussi les technologies de l'asservissement et de la régulation,
l'électronique industrielle, domestique et musicale. Il s'agit de circuits qui
se distinguent par deux types de propriétés :
Ils utilisent des signaux qui ne peuvent prendre que deux états, désignés par 1 ou 0 ( haut et bas ), ou simplement vrai ou faux.
L'état en sortie de tels circuits dépend de l'état d'une ou de plusieurs entrées.
Des circuits logiques simples peuvent être combinés pour donner des unités fonctionnelles de plus en plus complexes.
Pour nous, l'étude se bornera au principe de base des unités élémentaires : Les éléments de base des circuits logiques de commutation sont les fameuses portes. Il s'agit de commutateurs admettant souvent deux entrées, dont les états influent, de manière logique, directement sur la sortie. Quatre de ces portes ont reçu une signification privilégiée.
AND ou ET |
La sortie vaut 1 lorsque toutes les entrées sont à 1 ; autrement elle vaut 0 |
OR ou OU |
La sortie vaut 1, dès qu'une entrée au moins est à 1 |
NAND ou NON-ET |
La sortie est à 0 lorsque toutes les entrées sont à 1 |
NOR ou OU NON |
La sortie est à 0 dès qu'une entrée au moins est à 1 |
SIMULATION DES PORTES LOGIQUES
Voici
un petit programme qui simule les portes logiques de base avec leurs tables
de vérité, ce programme peut être transposé dans Excel comme exercice
logique.xls pour utiliser les structures conditionnelles
et les fonctions logiques intégrées.
On
définit une fonction logique S de deux variables E1 et E2 par une table de vérité
comme ci-dessous :
Les portes sont symbolisées et une table de vérité correspondante est associée dans le tableau ci-dessous
| AND ou ET |
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| NAND ou NON-ET |
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| OR ou OU |
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| NOR ou NON-OU |
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